Les journaux dits « prédateurs » biaisent la science en publiant des articles de mauvaise qualité, non examinés par les pairs. Rapporter cette information partagée par la revue Nature nous semblait important : une analyse récente a mis en évidence que 164 000 articles publiés par des journaux potentiellement prédateurs entre 2015 et 2017 étaient indexés dans la base de données Scopus. Cela représente presque 3% des articles indexés dans cette base pendant cette période.
Une autre analyse avait précédemment identifié des journaux prédateurs indexés dans PubMed.
Ces critères et outils peuvent vous aider à reconnaître les journaux prédateurs.