Nous travaillons depuis plus de 30 ans aux côtés de l’industrie pharmaceutique et du monde de la recherche scientifique en général.
Notre équipe de rédacteurs expérimentés, tous Docteurs ès sciences, anglais ou français natifs et bilingues français/anglais, conçoit et rédige des documents médico-marketing destinés à la communauté scientifique, aux professionnels de santé et au grand public, ainsi que toute la documentation règlementaire et clinique nécessaire aux différentes étapes du développement du médicament, quel que soit le domaine thérapeutique. Grâce à notre service d’assistance éditoriale en santé, nous vous accompagnons également dans la publication de vos résultats, de la correction de l’article à sa soumission en passant par la rédaction des réponses aux reviewers.
Le respect des normes internationales (CONSORT, ICH, …), la relecture systématique entre rédacteurs, et notre souci du détail vous garantissent des documents de qualité en respectant les délais.
Chaque projet est unique, et c’est également grâce à notre adaptabilité et à notre réactivité que nous développons une relation privilégiée et suivie avec nos clients. N’hésitez pas à nous contacter pour nous faire part de vos besoins, nous serons ravis de vous accompagner dans vos projets !
« Mars bleu » est le mois de sensibilisation au dépistage du cancer colorectal.
Le cancer colorectal touche environ 450 000 personnes/an en Europe, et a causé 140 000 décès dans l’Union Européenne en 2016. En France, ce cancer touche plus de 43 000 personnes/an et cause plus de 17 000 décès/an. Mais grâce à un dépistage, le cancer colorectal peut être découvert à un stade précoce, et plus il est détecté tôt, plus les chances de guérison sont importantes (90 % de survie à 5 ans pour les stades précoces).
Les femmes et les hommes âgés de 50 à 74 ans sont invités tous les 2 ans à faire un test rapide et efficace chez eux dans le cadre du programme national de dépistage organisé. Pour plus d’informations : https://www.e-cancer.fr/Comprendre-prevenir-depister/Se-faire-depister/Depistage-du-cancer-colorectal/Le-depistage-en-pratique
Nous souhaitons aujourd’hui saluer la Journée mondiale des maladies rares et les avancées thérapeutiques récentes, sources d’espoir pour de nombreux patients et leurs familles. Merci à tous les acteurs qui s’investissent dans ce domaine ! Nous avons été sensibilisées à la cause des maladies rares à la fois par l’expérience de 2 membres de l’équipe (Emma Pilling et Françoise Nourrit-Poirette) chez Orphanet et lors du congrès international Nord-américain de recherche sur la mucoviscidose (NACFC), auquel nous avons assisté 4 ans de suite avec Marielle Romet aux États-Unis. Là-bas, nous avons coordonné la réalisation de comptes rendus des conférences publiés en direct par les Archives de Pédiatrie en partenariat avec la Société Française de Mucoviscidose, Elsevier et Vertex, avec l’aide des Prs Isabelle Sermet, Isabelle Fajac, et Philippe Reix, des Drs Valérie Urbach et Nadine Desmazes-Dufeu, et d’autres pneumologues français que nous saluons chaleureusement.
https://nacfc.elsevierresource.com/les-archives-des-congres-nacfc
Aujourd’hui est célébrée la journée mondiale de l’anosmie. Auparavant connu des seuls patients, médecins et chercheurs, ce terme est désormais bien connu du grand public, car l’anosmie est un des symptômes cliniques caractéristiques de la Covid-19, en particulier des formes « légères » (Lechien et al. 2021). L’anosmie (ou perte de l’odorat) ne se limite pas à la perte des odeurs dans l’air, mais aussi à celle des arômes des aliments, le goût permettant uniquement la détection des saveurs sucrées, salées, amères, acides et umami. La perte d’odorat est très invalidante dans la vie quotidienne où la plupart de nos repères sont associés aux odeurs et arômes. Bien que temporaire chez la majorité des patients Covid-19, l’anosmie persiste au moins 6 mois chez les patients atteints de Covid-19 dit « long » (Lechien et al. 2021). Si la rééducation olfactive reste le seul traitement post-viral (Haute Autorité de Santé 2021), les corticoïdes oraux pourraient améliorer le retour de l’odorat chez les patients Covid-19 (Le Bon et al. 2021 ; Vaira et al. 2020).